Monsieur Marx, il y a une religion bien plus ancienne que le Christianisme : la République. Parfois elle prend le masque aimable de la démocratie… En vérité elle sert la liberté du plus offrant… Sa propagande porte l’homme des réseaux financiers labellisé aux codes barre univoques. C’est elle l’opium des peuples.’
Elle enfantera des César et des Caligula disant nous libérer des nombres… mais ils nous frapperont à l’effigie du vide.
Votre système monsieur Marx, est le rouleau compresseur d’un travail à la chaîne, l’ennui égalitaire d’une terre purgée des différences, du rare, du singulier, un paradis gris d’ombres uniformes.
Ni don, ni pardon dans cette enceinte de technocrates, d’analystes, mais l’obsession de limbes froide. Coulisses sales du Capitalisme à rebours où trône Big-Brother sur sa monnaie au cours inflexible.
Et c’est un veau qui vous obsède encore, d’acier au lieu de l’or, mais ruminant toujours sa guerre totale.
Christ est l’éveil de nos printemps, Communion d’une joie rebelle, Résurrection. Elle seule effacera l’effigie du néant en apposant l’empreinte de Son visage.
Sa Vérité est Liberté.
Irréductible.
Oui, notre petit cœur, Jésus, sera toujours Français car c’est au cœur de France que Tu bats le rappel de la Fraternité des peuples.
En Toi Seul, universel !
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