Barbarie à visage trans-humain

Mon frère,

Pourquoi t’entêtes-tu à caricaturer le débat,

à l’enfermer dans la division et l’opposition manichéenne vax/antivax,

alors qu’il s’agit de la sauvegarde de notre dignité, de notre liberté, de notre humanité!

Le problème n’est pas seulement le vaccin mais le “passe-droit sanitaire”, grave atteinte au secret médical; bafouant tous les droits, permettant toutes les dérives : Licenciements brutaux sans préavis, sans indemnités ! Piétinant tous les acquis sociaux, bafouant le code du travail : pour l’avènement d’un esclavagisme masqué du prétexte sanitaire!

Restreignant les déplacements : violation de la liberté de circulation, dernier bastion de la “démocratie”.

Où sont les défenseurs des droits de l’homme, où sont les syndicats, face à ce chantage au “vaccin” bafouant les lois nationales et internationales : la loi Kouchner, mais surtout la convention d’Oviedo, le code de Nuremberg !

Pour les propagandistes, les technocrates de Bruxelles,

nous,

les derniers défenseurs des droits et de la liberté, nous…

Les opposants au passe-droit à condition de conformité sanitaire,

nous sommes des “capricieux”, des “hystériques”, des “complotistes”, des idiots, des fachos, des antisémites, des réfractaires, des débiles, des incendiaires…

Bref,

des parias inventés et non répertoriés, échappant au logiciel de contrôle des peuples.

Sanitaire disent-ils, les scientistes, les politiques, les technocrates et les matons d’une mémoire confisquée… Urgence sanitaire, martèlent-ils…

En vérité, pointage : ” vérification d’identité conforme”

et uniforme.

Les rappels ad vitam des “vaccins” sont les premiers jalons d’une déconstruction de l’échelle mémorielle, une reprogrammation de cette mémoire qui devient propriété d’Etat.

http://www.senat.fr/rap/r20-673/r20-6738.html…

La dictature de la transparence éradique l’ombre, le mystère, le sacré.

Mais dire cela c’est être un dissident; c’est être un hors la loi du marché vaccinal; c’est refuser le code barre social à prétexte sanitaire.

Au fond,

nous, les réfractaires,

les humains des interstices et des routes buissonnières,

nous sommes les intouchables d’un système qui se rêve infaillible.

Nous sommes les parias des moutons branchés, reliés, captés.

Et nous leur permettons de croire qu’ils sont les privilégiés du monde d’après, alors qu’ils sont les enchaînés de la “bête de L’évènement” en marche.

Nous, les amoureux des vals perdus, sommes les survivants de ce monde où il y a encore des failles, des regards qui se cherchent et des larmes de joie.

Nous sommes la mémoire des sanctuaires rendus à la nuit d’une gestation silencieuse.

Nous sommes les grains de sable désorganisant les rouages de leur mémoire artificielle.

Nous sommes les Terminators de l’inhumain.

Les éveilleurs

d’une nouvelle aurore.