Les larmes des mères coulent dans le Jourdain rougi du sang de ces enfants martyrs… je me résoudrai au silence quand ils seront bercés et que battront leurs coeurs au Choeur infini des Anges.
D’ici là, je veille, je dessine leurs visages.
La mer se retire sur ceux qu’on sacrifie. Rien ne changera jamais tant que l’humanité ne se convertira pas à l’Amour.
Véronique Jeanne Lévy