Que le feu jaillisse des cendres refroidies et se lève l’innocence sacrifiée aux vampires manipulant le monde. Que le printemps qui point soit le crépuscule de leurs dieux, ces dieux archaïques s’abreuvant du sang des tout petits enfants. Que l’été qui s’avance soit celui du chevalier blanc au lys planté dans le Cœur, ultime été s’effilochant à l’horizon du temps renversé sous les baisers de l’Amour qui vient sans faire de bruit.
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