Voici le début de mon texte sur la vocation de la France paru dans la revue Suisse la Cinquième Saison, ou du moins, ce qui fut sa vocation et qui fut trahi hélas, par les marchands du temple… Puisse t-elle retrouver son âme avant son ensevelissement et sa résurrection.
Car, oui, la nuit avance et la nuit qui s’annonce n’est pas la grande nuit de l’Illumination, la douce nuit traversée par l’éclair de Sa Présence, ni même la nuit de La Lumière qui parait ténèbres aux coeurs aveugles…Non, la nuit qui s’avance est celle de l’abandon, cellle du Golgotha, celle de sa crucifixion mais, au coeur de cette nuit de la désolation, elle reviendra à son Dieu, elle reviendra à l’Unique amour: à l’Eternel, dont l’Epée est le Verbe qui la sacra Sa fille, aînée pour le début et pour la fin des temps.
Voici donc ce texte qui fut écrit au préalable à l’occasion de la traversaine de Marie, une longue marche à travers la Vendée des martyrs, et ce texte inconnu réapparait ici, dans cette revue Romande, La Cinquième saison, dont le thème est justement LA NUIT.
Je suis honorée d’avoir pu faire entendre ce chant du Cygne ici, au côté de grandes voix comme celle du philosophe et éditeur Maxence Caron et l’auteur Romain Deblue.





Partager cette page
Partagez cette page avec vos amis !