J’ai été émue de découvrir ce très bel article de François-Xavier Rochette, dans lequel je suis citée…
Extrait:
“Finalement, dans cet univers lugubre, les voix dissonantes étaient rares. Quelques perce-neige redonnant espoir à ceux attendant inlassablement le printemps des âmes, une renaissance. Et cette divine surprise, femme gracile à la voix si douce née toute entière de son baptême, petite flamme vacillante, qui ne danse pas mais qui vibre et qui ne s’éteint jamais. Elle vient de loin, de si loin. Véronique, Véronique Lévy, la petite sœur d’un frère qui ressemble à son antithèse. Et peut-être sert-il à cela dans l’histoire. Véronique Lévy qui, chaque jour, réagit contre l’armée des ombres et contre ces robots qui remplissent les espaces délaissés par le sacré. Véronique ne possède pas le zèle de la convertie, elle possède tout simplement la force de la foi, car plus le temps l’éloigne du jour de sa naissance plus elle est ardente, plus elle discerne là où il se trouve le mal, le mal et ses suppôts.
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